Bonjour à tous !
Aujourd’hui, nous nous intéressons aux coureurs de l’extrême et parmi eux, à ceux qui sont porteurs de prothèses de hanche ou de genou. Ont-ils plus de risque d’abandon ? Moins de chances de finir des courses à la longueur indécente ? C’est dans étude rétrospective publiée en 2020 que Michaël Rochoy et ses collègues nous racontent leur histoire.
Les références bibliographiques
- La durabilité des prothèses a été évaluée et rapportée à plusieurs reprises. La Haute-Autorité de Santé évoque notamment un taux de survie de 93 à 95% à 10 ans. A 25 ans, il semblerait que ce taux se maintienne autour de 77% . Ici pour des prothèses de genou tricompartimentales, on retrouve un taux de maintien de 94% à 15 ans.
- C’est dans cet épisode que nous parlons des pathologies d’Osgood-Schlatter. Là aussi, bien que l’étude ne nous permettait pas d’en tirer des certitudes, elle nous montrait toutefois que l’exercice était une possibilité que l’on pouvait proposer et qui pouvait ne pas induire d’effet indésirable.